Nintendo-Difference est heureux de vous présenter le roman de l'un de nos rédacteurs, Artemus (aka Jérôme Ruffier), qui vient tout juste de paraître à la vente et que vous pouvez commander chez vos libraires habituels : « Pinacothèque mercantile et moraliste du zombie » . Pour fêter l'arrivée de son premier roman, l'équipe dans laquelle il évolue ne pouvait pas ne pas lui faire un peu de publicité, surtout que son roman s'adresse à tous les amateurs de zombis. Et Dieu sait que vous êtes nombreux à l'être et que le phénomène du zombi bat actuellement son plein sur consoles de jeux avec Resident Evil 6 et ZombiU.
« Pinacothèque mercantile et moraliste du zombie » nous est présenté par son auteur :
« Un chômeur longue durée, un flic dépassé par les évènements, un producteur de films pornographiques et son actrice fétiche au Q.I d’huître, un énigmatique éco-guerrier qui en sait plus qu’il ne le dit, une scientifique, un Patient Zéro, une agricultrice au fort caractère, des Chevaliers du Zodiaque, un Président de la République, une multinationale impliquée, des Illuminatis, un complot millénaire, un virus… UNE INVASION DE ZOMBIES !!! » Les laboratoires de Biofoxis, un impressionnant complexe pharmaceutique, travaille depuis des années sur un étrange soluté, le Samson. Dès lors que Seth, un éco-terroriste s’empare du produit et le déverse dans la nature, une épidémie sans précédent envahit la France. Les Zombies marchent sur le pays, chaque jour de plus en plus nombreux, bien décidés à dévorer les survivants. Malgré la menace, des groupes de personnes prennent leur courage en main pour résister, mais ils vont découvrir que l’invasion n’est que le début d’une longue quête qui lie l’humanité à son destin… Pinacothèque Mercantile et Moraliste du Zombie est le début d’une saga écrite comme une série télévisuelle. Horreur, humour et complot viennent prendre en haleine le lecteur jusqu’à la dernière ligne.
Jérôme Ruffier est né en 1980 à Champanges, en Haute-Savoie. Passionné par l’écriture depuis l’enfance, il rédige ses premiers romans à l’âge de 8 ans. Après ses études, il déménage à Lyon où il devient scénariste et entreprend la conception d’une saga ayant pour thème les zombies. Attiré par le rôle de l’Eglise dans l’Histoire, par l’ésotérisme et grand amateurs de culture geek, il mêle dans ses écrits les centres d’intérêts qui le motivent.
Alléchant n'est-ce pas ? C'est en partenariat avec son éditeur, les éditions Kirographaires (http://www.edkiro.fr/) que nous avons décidé de vous faire gagner 10 livres autour d'un concours simple. Il vous suffit de participer dans ce topic et de simplement poster un petit mot pour l'auteur en indiquant par exemple que vous souhaitez participer au concours ou en lui posant des questions (ce que vous voulez en fait, c'est libre, il suffit juste de participer au sujet). Nous ferons ensuite une liste des participants du fil de cette discussion et tireront au sort 10 d'entre vous
Bonjour, je souhaiterais participer s'il vous plaît. Merci.
Est-ce que ce livre est sur les '' Zombies '' au sens vaudou du terme ou au sens cinématographique ?
Je souhaiterais participer aussi, mais j'ai pas de questions
Bonjour, je souhaiterais participer au concours
La couverture de ton livre m'intrigue, pourquoi avoir choisi une belle cote de boeuf ?
Merci pour ta reponse et je te souhaite un trés gros succés
Oh bah moi aussi, j'aimerais bien participer.
Même si bon, les zombies ça fait peur.
J'ai déjà lu des livres sur les zombies type "Apocalypse zombie" http://goo.gl/erYde ou Mon zombie et moi http://goo.gl/dVBgn, j'aimerais savoir si tu les as déjà lus ?
Je participer, Merci
Adorant toute la thématique du zombie, je souhaite participer au concours bien évidemment ! J'avais adoré le livre de Max Brooks "Guide de survie en territoire zombie", je suis sûr que celui-ci me plaira aussi!
Une question, inspirée par un épisode de The Big Bang Theory : zombie, momie, même combat ?
Pour Timshu: merci pour tes compliments ^^
-"Pour toi Jérôme, tu te vois aussi doué que Max Brooks ou tu te vois complètement différent delui, nouvelle visioon de ta part ?" : Je ne sais pas si je suis aussi doué que Max Brooks, dans le sens où on ne joue pas sur la même catégorie. Brooks est bien plus sérieux dans ses écrits, moi... y a quand même des Chevaliers du Zodiaques quoi...
- "Comment envisages-tu de ton point de vue de survivre à un monde complètement dévasté par ce virus ? Je parle bien sûr en réel": en se préparant à l'avance. En prévision d'une hypthetique catatrophe, j'ai un sac à dos dédié uniquement à la survie. Dans un monde de zombie: l'entraide, je pense, est la voie.
Pour Ziel! Je crois que c'est une faute de frappe
Pour Genesis: Plus cinémathographique, même si le deuxième a inspiré le premier.
Pour Yoodoo: un petit effort, merde ! Alex Kidd était perséverant
Pour Delonge1821: au départ, ce devait être le portrait de Van Gogh zombifié, mais l'éditeur a refusé. La photo artistique d'un steak collait bien avec le titre. Voilou.
Pour Hyper-Tofu: Non, j'ai lu très peu de livres de zombies, justement pour ne pas m'en inspirer involontairement.
Pour Timinou: Pose une question, je te prie ^^
Pour Navilink (haaaa Zelda): Pas même combat pour moi. Déja au niveau de l'ambiance, les oeuvres sur les momies se situent plus dans les années 30 avec ce qui compte comme archélogues. Dans les zombies, on joue plus sur la survie. Paradoxalement, l'épisode 3 de mon livre se passe avec des archeologues dans les années 30. Putain ! Même combat en fait !!!!
Question : une côte de boeuf n'aurait-il pas été plus pertinent comme choix qu'une côte de porc, qui est une viande blanche ?
Sinon je te souhaite plein de succès et de surfer sur la vague du succès de Walking Dead.
Ce n'est en tout cas sans doute pas une tranche de zombi: elle a l'air un peu trop fraîche pour cela.
Sinon, vu que l'histoire n'a pas trop l'air de se prendre au sérieux, le livre se lit mieux sobre ou en étant bourré? Non, parce qu'un film comme Zombiland devient plus drôle avec un coup dans le médaillon.
Bonne chance pour les ventes sinon.
Bon, bah une question : D'où t'es venu l'envie d'écrire à propos de zombies?
Okay, tu as gagné. Si tu devais recommander une oeuvre (film, JV, livre, etc) sur les zombies, ce serait quoi ?
Eh bien je participe ! J'ai vu de la lumière et des zombies alors je suis entré
J'aurais bien une question ou deux pour l'auteur par contre, le monde de l'écriture m’intéressant beaucoup.
Tout d'abord, combien de temps cela à pris d'écrire ce roman? Quels ont été les passages les plus problématiques a écrire (Sans spoiler bien sur ^^) ?
Et surtout ce que j'aimerais savoir c'est comment faire pour reste motivé jusqu'au bout? je sais que pour ma part je n'arrive jamais a finir d'écrire une histoire.
Voila j'espère que je pourrais bientôt poser mes mains sur ce superbe roman, bonne chance a tous !
Le theme du roman me fait avoir un regain de nostalgie en me remémorant des livres que je lisais ado...
Les éditions fleuve noir et les collections shadowrun, Warhammer ou encore vampire.
Du coup je jetterai bien un oeil sur ce roman
Moi je serai intéressé pour que ce cher Artemus nous mette ici les deux ou trois premières pages de son roman non qu'en pensez-vous ? Faut lui mettre la pression
Pardonnez mes réponses tardives mes enfants, mais je suis depuis bientôt 3 mois un heureux papa, donc un homme qui à besoin de sommeil
.-CoolJedi : « Question : une côte de boeuf n'aurait-il pas été plus pertinent comme choix qu'une côte de porc, qui est une viande blanche ? »Alors là, tu me poses une colle. Ce qui m’a fait dire oui pour l’illustration, c’est que la pièce de viande ressemble à une langue.
- Firebrand : « isnon, vu que l'histoire n'a pas trop l'air de se prendre au sérieux, le livre se lit mieux sobre ou en étant bourré? Non, parce qu'un film comme Zombiland devient plus drôle avec un coup dans le médaillon. »Alors non, je te déconseille de le lire bourré. Un film peut se permettre d’être bu…heu, vu, avec des grammes, mais suivre un bouquin est plus dure. Ou alors il faudra que je fasse une version audio. Après, j’aime bien picoler (comme tu as pu le voir si tu as suivi mes podcasts), et quelques paragraphes n’ont pas été écrit à jeun.
- Timinou : « Bon, bah une question : D'où t'es venu l'envie d'écrire à propos de zombies? »C’est une très bonne question ! Pour te dire, je ne m’en souviens plus très bien. Comme tous mes livres, j’ai du me lever un matin avec une idée que j’ai cru bonne et j’ai développé. Après, c’est un thème que j’affectionne au cinoche, et pour être franc, je pensais être original en écrivant sur les zombies… jusqu’à ce que je découvre qu’il y avait déjà de la concurrence.
Voodoo : « Okay, tu as gagné. Si tu devais recommander une oeuvre (film, JV, livre, etc) sur les zombies, ce serait quoi ? »Je ne vais pas être original, mais en film, je suis accro aux films de romero, mais ceux des années 80, où le zombie était un vecteur à charge des travers de la société de consommation. Maintenant, les films de mort-vivants surfent plus sur une mode. En livre, j’ai bien aimé « Zombie Island » qui se rapproche un peu de ce que je fais. Et n’oublions pas l’excellent Resident Evil Rebirth, sur cette bonne vieille Gamecube.
- Gorepheus : « tout d'abord, combien de temps cela à pris d'écrire ce roman? Quels ont été les passages les plus problématiques a écrire (Sans spoiler bien sur ^^) ?Et surtout ce que j'aimerais savoir c'est comment faire pour reste motivé jusqu'au bout? je sais que pour ma part je n'arrive jamais a finir d'écrire une histoire. »Le roman a été écrit en un an, à savoir que je bosse toujours sur deux romans à la fois (je me suis déjà autopublié, cherche « Zarret Krivonis » sur Google). Donc, bout à bout, en réalité, j’ai du mettre six mois pour l’écrire.Aucun passage ne m’a posé de difficulté dans l’absolu, car je travaille avec des plans assez détaillés, l’histoire est concu en amont de A à Z. Les jours où ça ne sortait pas, et bien je bossais sur mon autre roman ou sur un scénario de BD.La motivation ? Et bien quand tu tiens ton bouquin en main, tu as la plus belle des récompenses. Je vois que tu écris, et si je peux te donner un conseil, permet-moi de te dire ceci : il vaut mieux écrire une demi-heure chaque jours que quatre heures le week end. La régularité est la clef ! Après pour les pages blanches, je ne suis pas de bon conseil car je n’ai jamais eu cette maladie de l’écrivain
- Ddepretz : Haaa ! fleuve Noir ! Que de souvenirs ! Pour tout te dire, j’étais en contact avec eux pour ce roman, mais ça a foiré (c’était de ma faute)
Draco : Je vais voir ça. Au passage, merci à Nintendo-Difference pour cette vitrine, je vous kiffe les gars !
Voici quelques pages pour patienter. A ce soir, les enfants, je vais aller bosser pour le fisc.
Mario Vercetti se présentait comme le plus grand connard que la Terre n’ait jamais porté, mais la bonne nouvelle était qu’il en avait conscience. Et surtout qu’il n’en avait rien à foutre ! De magouilles en arnaques, d’arnaques en magouilles, il avait mis de côté pas mal d’argent pour monter sa propre maison de production, son rêve d’enfance.
Son premier film, Dracula contre les X-Men, fut un bide retentissant. Non seulement il n’avait fait que cinquante entrées (en plus dans de petits cinémas de merde), mais comble de malchance, il fut peu de temps après attaqué en justice par Marvel Comics. Et il perdit…
Résigné, il changea complètement de registre et se lança dans l’industrie pornographique, fleurissante à l’époque. Pour des budgets dérisoires, avec des scénarii tenant sur un Post-it, il fit fortune en filmant des filles de l’Est. Sa renommée devint rapidement internationale et Mario prit la troisième place des producteurs de X français en termes de chiffre d’affaires. Mais tout ça, c’était avant l’arrivée en masse d’Internet dans chaque foyer…
Depuis peu, il n’était plus le cinéaste applaudi par la presse spécialisée, sa côte de popularité était au plus bas. Il n’avait pas su capter l’arrivée des nouvelles technologies, en bon crétin qu’il était. Mais bon Dieu, pourquoi avait-il accepté de mettre en scène un space-opéra porno ? Ça lui avait coûté les yeux de la tête et le film était déjà sur le web avant même sa diffusion en DVD ! S’il tenait ce fils de pute de scénariste qui l’avait abordé un matin avec son torchon de trente pages…
Mario, à l’évocation de son passé glorieux, brisa en deux le stylo qu’il tenait entre ses doigts boudinés. Dans le bureau de la direction de Vercetti Production, SON BUREAU, il était en train de se prendre une sacrée engueulade par son comptable et les actionnaires principaux, ses deux frangins. Seule Super Pipa, la blonde platine siliconée et nouvelle égérie des studios, le soutenait. Mais Mario aurait préféré qu’elle ferme sa gueule, pour une fois.
– Mais heuuu, continua Super Pipa en posant son doigt sur son menton, moi je trouve que Monsieur Mario est un excellent filmeur de film. Et il me trouve toujours des bôôôô mecs…
« Putain, qu’elle est conne ! » se dit Mario. Mais il ne l’avait pas embauché pour le nombre de connexions qui s’effectuaient dans son cerveau.
Ezio, le frère aîné des Vercetti, se pinça le haut du nez avec le pouce et l’index. Lui aussi trouvait Pipa véritablement limitée, mais étant donné que c’était elle qui générait le plus de revenus actuellement, il hésitait toujours à l’envoyer chier. D’autant plus qu’elle n’avait fait aucune histoire quant au contrat d’exclusivité que la production lui avait fait signer auparavant…
– Merci Pipa, dit Ezio du bout des lèvres, mais il faut que tu comprennes que le studio est dans la merde ! Mario a mal géré nos productions, et il n’est pas assez… précautionneux. Un petit malin de la boîte qui presse nos DVD, a posté sur le net, avant sa sortie, Le Guide du Baiseur Intergalactique. Résultat, tout le monde le télécharge et on ne touche rien…
– On n’est pas loin de la faillite, reprit Luigi, le benjamin de la fratrie. J’ai vu les chiffres que nous a donnés Albert, et je peux vous assurer que le budget pour le prochain film sera plus que serré…
Albert le comptable, un homme aussi insipide que son costume gris et sa cravate noire, releva ses lunettes sur son nez et se racla la gorge :
– Ils ont raison, Mario. Sans vouloir paraphraser Ezio, le studio est dans la merde !
Mario tapa du poing sur la table, agacé d’être l’accusé dans un tribunal monté à la va-vite.
– Tout est toujours catastrophique avec vous, Albert ! Si je devais serrer les fesses à chaque fois que VOUS avez un pet de travers, je serais pas prêt d’aller poser une pêche ! Et je vous signale au passage que je n’y suis pour rien si un petit con a foutu notre film en ligne.
– Il n’y a pas que ça ! pesta Luigi. Tu gère la boîte comme un demeuré. Je te rappelle que notre frère et moi-même avons placé des billes dans Vercetti Production. On t’a laissé le lead car on te faisait confiance.
– Regarde-moi ça, tête de con ! hurla Ezio en balançant un classeur au visage de Mario. Tu as acheté avec NOTRE thune des choses inimaginables ! Avions-nous réellement besoin de soixante barils de peinture bleue ?
– C’était pour le remake d’Abraquemart ! répondit Mario sur le même ton. Et même sans lunettes 3D, le film s’annonçait excellent. C’est sûr que si vous me mettez des bâtons dans les trous…
– Et les quarante bouteilles d’alcool accompagnées de son lot de trois cents verres à pied ? demanda sèchement Luigi. C’est pour un remake de Gainsbourg ???
– How I fuck your mother, répliqua l’accusé. J’avais prévu de faire un semblant de bar à la Manhattan. Comme dans la série.
L’assemblée fixait à présent le désigné coupable tel un futur guillotiné. Sauf Super Pipa qui cherchait toujours à comprendre la signification du mot « paraphraser ». Puis Ezio se leva de sa chaise et pointa du bout des doigts le cadet de la famille :
– Mario ! Je te rappelle ce qu’on avait convenu au départ. Tu ne détiens que quarante-neuf pour cent du capital de la boîte, aussi tu es en minorité. Luigi et moi avons décidé que tu prendrais des vacances forcées pour deux semaines.
– Mais attend, supplia Mario, tu ne peux pas me faire ça…
– Barre-toi loin d’ici ! déclara Ezio. On va gérer l’affaire pendant ce temps.
Mario lança un regard noir à l’ensemble de son tribunal. Il se leva de sa chaise, en silence, dans une tension presque palpable. Il était presque heureux que Pipa lui fasse au revoir de la main.
Il se dirigea vers la porte du bureau lorsque Luigi l’interpella une dernière fois :
– On ferme le studio ce soir et on revient dans trois jours. D’ici là, j’espère que tu auras nettoyé les chiottes. Y a du restant de chinois sur les bords.
– Et mes vacances forcées ?
– Une fois les chiottes lavés…
Mario claqua la porte, descendit les escaliers et quitta l’immeuble sordide qui longeait un périphérique quelconque en banlieue parisienne. « Fils de pute » maugréa-t-il en crachant par terre, oubliant momentanément qu’Ezio, Luigi et lui-même avaient la même mère.
Mario, comme notifié plus haut, était un connard. Et s’il était un connard, il agirait en tant que tel…
Mario et Luigi... Ezio... OMG...
Maintenant, j'en suis sûr: si tout le bouquin est sur le même ton, avec un ou deux verres dans le cornet (en restant suffisamment propre pour ne pas à choisir lequel des 2 livres devant soi il faut lire, hein) on doit se pisser dessus de rire.
Jérôme, ton livre est donc lié un peu à l'univers dit "geek" c'est ça ? Tu nous as donc fait un livre geek pour les geeks ?
Héhéhé ! Y a pas mal de références aux geeks là dedans.
Tiens, j'avais fais une video à l'époque, en amateur:
http://www.youtube.com/watch?v=mfYZW7kKgb8
D'autres extraits ce week end ?
Bon alors ça c'est cool . Du coup j'imagine que tu dois aimer ZombiU je me trompe ? ^^
J’adore le pitch du livre
Sinon un question : ça a été acile de trouver un éditeur avec un sujet comme celui là ? Et tu as des prévisions de vente (toi ou l'éditeur) ?
Ton métier exclusif c'est écrivain en fait? Combien de livre déjà publié ? Tu vis bien ?
Non Timshu, je n'ai pas encore la Wii U, à mon grand regret
Peut être que si les ventes sont bonnes, je passe le pas. De toute façon, un Zelda me fera l'acheter.
Koobiac, non , ça n'a pas été facile de trouver un éditeur. Je suis passé par l'autopublication jusqu'à ce que les editions Kirographaire m'édite. Et on a pas de prévision de vente, je suis un nouvel auteur, je ne m'apelle pas King ou Levy... Wait and see donc.
Sinon oui, j'aime bien la couv'. Pour le pitch, c'est vrai que c'est original.
Je reconnais que ce livre est unique, mêler autant de délires, de geekierie et une hisotire de zombis a la Resident Evil et The Walking Dead putain fallait le faire Putain ta vidéo maison pour annonce rle bouquin, tu nous avais caché ça
T'en as profité pour le lire, Draco ?
Peut-être que grâce à l'argent que tu vas te faire avec ton livre tu pourras enfin t'acheter cette merveille de console et jouer à ZombiU .
Bref du coup c'est quoi ton survival horror favoris ? ^^
Peut être ^^
Mes survivals préférés ? Resident Rebitrh , Re4 et Eternal Darkness, tous sur la meilleur console jamais sortie
Non Arty pas eu le temps d'aller au delà des 10 premières pages, entre le site, la fin d'année chargée, et des choses extra taff j'ai pas été aidé pour trovuer une minute à moi ! (et je te parle même pas de tous le sjeux Wii U qu'on doit tester, ca tu le sais )
Bonjour Jérôme,
Que penses-tu du premier ministre australien qui pense que l’apocalypse zombie aura lieu le 21 décembre prochain ?
Et au passage, je veux bien participer aussi !
Bonne journée,
Tout le monde le sait, le 21 décembre 2012, Nintendo-Difference lance son nouveau site
Mais c'est une bonne question mon cher Wart. En fait, ce n'est que le début d'une saga, tout se déroule sous la forme d'épisode, un peu comme une série TV. Et merci pour tes félicitations
Si c'est sous un format comme ça alors je seris le premier à les acheter ^o^ (excepté si je gagne le concours ^^). Si un tome 2 et 3 sortent et que ton premier roman me plaît vraiment alors oui il en fait aucun doute que ça fera parti de ma bibliothèque ^^
Allez, je mets un autre passage avec mon personnage préférée, Germaine Pichard, 82 ans, alcoolique au caractère trempé.
Germaine avala en une gorgée le verre de liqueur de poire et s’en servit un quatrième. Ses mains tremblaient pour une raison qui lui échappait et elle renversa le contenu d’un autre verre sur la table. Elle ferma les yeux et but d’un trait l’alcool. Maintenant, elle était prête pour rendre une visite à ses voisins et leur demander ce qu’il se passait dans la ferme. Son vieux cerveau repassait sans cesse la chute de la jeune fille dans le puits, comme si son esprit était devenu un disque rayé qui sautait sur une platine et jouait la même chanson en boucle.
L’alcool s’infiltrait dans ses veines au fur et à mesure de ses préparatifs. Elle avait sorti une douzaine de cartouches et nettoyer la poussière dans le canon de son fusil en étant presque ivre. Elle saisit la bandoulière de son arme et passa son bras à l’intérieur. À l’instant où elle allait sortir, quelqu’un frappa à la porte d’entrée.
Méfiante (elle n’aimait pas les visites surprises), elle ouvrit le battant en bois et passa la tête dehors. Un homme d’une cinquantaine d’années, à l’embonpoint prononcé, habillé dans un costume bon marché avec la cravate assortie, attendait devant le seuil de la maison. Dans sa main gauche, il tenait une serviette en cuir. Sa main droite était glissée dans la poche de son pantalon. Lorsqu’il aperçut le visage ridé de Germaine, l’étranger afficha son plus beau sourire de faux-cul :
– Madame Pichard ? demanda le nouveau venu.
– Qu’est-ce qu’il me veut ? siffla la vieille en passant la tête dans l’ouverture.
– Robert Plantu, de la Compagnie des Autoroutes.
– Qu’est-ce qu’il me veut !? répéta Germaine sur un ton plus acide.
– Je viens vous parler du projet d’autoroute qui va passer pas loin de chez vous, répondit le quinquagénaire. Vous n’avez pas retourné le courrier que nous vous avions envoyé…
– J’ai pas répondu pasque y avait pas d’enveloppe timbrée dans vot’ courrier. J’vais pas payer un timbre juste pour vous envoyer chier !
Robert Plantu de la Compagnie des Autoroutes grimaça devant la mauvaise volonté de Germaine. Il respira une bouffée d’air et afficha un sourire à l’intention de la vieille bique.
– Madame Pichard, reprit-il, il faut que nous convenions d’un accord. Puis-je entrer ?
– J’ai pas le temps ! maugréa Germaine. J’ai des affaires en cours.
– Juste dix minutes, après je vous laisse en paix.
La vieille examina Robert de haut en bas. Il lui faisait penser à son gendre, avec un air encore plus niais. Sachant qu’elle ne couperait pas à une conversation avec ce bonhomme, autant en finir au plus vite. Elle ouvrit complètement la porte et invita d’un signe de tête l’emmerdeur à entrer. Robert pénétra dans la maison vétuste et avança de deux pas. Germaine saisit sa canne et lui flanqua un léger coup dans le ventre. Robert stoppa sa marche, interloqué.
– On lui a pas appris la politesse à la ville ! rouspéta Germaine. Si j’ai mis un paillasson, c’est pas pour les chiens ! Il va tout m’ dégueulasser, crénom !
L’homme recula et essuya ses pieds sur une serpillière humide. En regardant l’unique pièce du premier étage qui était sale et mal entretenue, il soumit intérieurement l’idée que les notions d’hygiène ne devaient concerner que les invités…
– C’est coquet chez vous…, mentit-il.
– Il peut s’assoir, j’vais lui servir un canon !
Devant la mauvaise humeur de la vieille dame, Robert obéit et s’assit sur l’une des chaises autour de la table de la cuisine. Germaine rangea son fusil contre la cuisinière, saisit un verre dans son buffet et le déposa près du sien qui était déjà sur le meuble en bois au milieu de la salle. Elle remplit les deux récipients avec le liquide contenu dans la bouteille en plastique sur la table. Elle tendit ensuite un verre au visiteur et trinquèrent.
– Santé ! dit la vieille mollement.
– Santé ! répondit Robert.
Germaine avala le tout d’un cul-sec. Ne voulant pas passer pour un gars de la ville (les paysans, il le savait, n’aimaient guère les citadins), Robert l’imita. L’alcool, distillé dans des conditions peu communes, lui brûla la gorge et il ne pu s’empêcher de tousser. Il devint rouge et manqua de suffoquer, ce qui fit rire Germaine aux éclats.
– C’est de la gnôle que j’fabrique moi-même ! dit Germaine. C’est aut’e chose que la saloperie que vous achetez en supermarché, hein ?
– C’est sûr ! toussa Robert. Elle est bonne mais un peu forte…
– Une peu forte !? s’exclama la vieille. Mais c’est ce qu’on donne aux gosses le soir pour qu’ils dorment mieux ! J’ai été élevée à ça dès que j’ai arrêté le biberon !
Robert ne répondit pas, trop occupé à attendre que les vapeurs d’alcool s’évaporent dans sa gorge. Il toussa une seconde fois et porta la main droite sur son torse. Germaine remarqua alors que l’emmerdeur avait l’extrémité de son avant-bras enveloppé dans un mouchoir en soie. Des gouttelettes de sang tachaient le morceau de tissu.
– Qu’est-ce qui lui ai arrivé ? questionna la vieille.
– C’est votre voisin à l’autre bout du pont. Je demandais mon chemin quand il s’est jeté sur moi et m’a mordu…
– Le Père Girin lui a becqueté le haut de la main !? s’étonna la retraitée. Ça s’arrange pas dans cette ferme !
– Je ne comprends pas pourquoi il a fait ça. Mais il semblait un peu étrange. Il n’a pas dit un mot avant de me mordre…
Un long silence s’installa, et Germaine en profita pour recharger les verres en alcool. Robert se racla la gorge et choisit avec précaution ses prochains mots :
– Je suis venu ici pour que l’on parle de cette proposition que notre société veut vous soumettre…
La personne âgée tenait sa canne entre ses mains et caressait l’extrémité en bois usée par le contact avec le sol.
– Je l’écoute ! grommela Germaine. Mais si j’entends un mot déplacé, il peut être sûr que je lui passe la canne à travers le fondement. Ça lui fera un joli soutien à sa colonne vertébrale…
– Pour commencer, déglutit le commercial, je voudrais attirer votre attention sur la construction de l’autoroute qui va débuter dans quelques mois en bas de la falaise. Vous êtes au courant ?
– J’en ai entendu parler, grinça Germaine. Ca fait plus d’un an que ça gueule au village avec cette histoire. Votre compagnie de zozos, elle peut pas construire sa saloperie plus loin !?
– Impossible ! s’exclama Robert. Si nous dérivons plus à l’ouest, nous traversons la réserve naturelle. C’est rigoureusement interdit !
– Alors comme ça, on peut faire chier un village de plus de cinq cents habitants, mais faut surtout pas toucher au petit parc à la con cinq kilomètres plus loin ! J’savais pas que la Brigitte Bardot avait plus de poids qu’un élu du peuple !
Le commercial joignit ses mains et avala sa salive à deux reprises. Les yeux mauvais de la vieille traversaient les siens et lui faisaient frissonner l’échine.
– C’est votre maire qui nous a indiqué le seul lieu à Panaris-les-Bains qui ne gênerait personne.
– Ah le fumier de lapin ! gueula Germaine. J’en étais certaine que ça v’nait de lui c’t histoire ! Il a jamais digéré que j’me présente aux élections sur une autre liste !
– Il faut bien que vous compreniez, Madame Pichard. Nous allons creuser dans la falaise. Et les vibrations risquent de faire…
Robert hésita à finir sa phrase. On l’avait prévenue que la vieille qui vivait en haut de l’escarpement avait un caractère peu commode.
– …, de faire écrouler votre maison, finit-il.
Germaine saisit sa canne, en flanqua un coup sur la table. Elle brisa un verre et fit sursauter le commercial.
– Faire écrouler ma baraque !? beugla-t-elle. Si y a la moindre fissure aux murs lors de vos travaux, j’me passerai bien d’aller voir les flics ! Vos ouvriers auront intérêt à porter des gilets pare-balles !
– Justement ! rétorqua Robert en ignorant les menaces proférées. Nous avions l’idée de vous reloger dans un cadre bien plus accueillant pour une personne de votre âge…
Germaine tendit sa canne devant elle et la cala sous le menton du représentant. Elle fulmina à l’intérieur de son corps frêle.
– Qu’il choisisse bien les prochains mots qu’il va dire ! murmura-t-elle.
– Madame Pichard, dit doucement Robert, nous ne souhaitons que votre bien. La société s’engage à tout payer. Vous n’aurez rien à débourser. Il y a dans une petit ville non loin d’ici, une pension où les viell… les personnes âgées sont traitées avec le plus grand soin. Le Dernier Râle s’occupe très bien de ses pensionn…
Il y eut alors une fêlure dans l’esprit de Germaine. Son corps n’obéissait plus à son cerveau. Elle arma son coup et frappa vigoureusement le commercial avec sa canne. Le bout de bois s’écrasa contre son visage et Robert en tomba de sa chaise, face contre terre.
– Dans une maison de retraites !!! hurla l’acariâtre. Avec des vieux ! Ils veulent me foutre dans une maison de retraire, ses saligauds ! Nom de Dieu de Nom de Dieu de Nom de Dieu!!!
Elle quitta sa chaise en grommelant et clopina jusqu’au buffet de la cuisine. Elle ouvrit le battant du meuble et scruta l’intérieur.
– Bondiasse ! s’exclama-t-elle. Mon grand-père s’est battu contre les Prussiens, mon père a fait la guerre de quatorze ! Moi, j’avais pas douze ans quand j’ai abattu mon premier boche ! On a servi la France et on veut m’coller dans une maison pour vieux !
Elle déboucha un flacon de liqueur de mirabelles et s’envoya plus de la moitié dans le gosier. Elle rangea la bouteille et ferma les yeux pendant une dizaine de secondes, les nerfs à fleur de peau.
– Ça va chier dans la commune ! dit-elle sur un ton un peu plus calme en fermant le buffet. Personne ne me f’ra quitter ma baraque. Pouvez envoyer des camions de CRS, y vont recevoir du gros sel dans l’cul, c’est moi qui vous l’dit !
Surprise de n’avoir pas de réponse face à ses protestations, Germaine fit volte-face en direction de la table. Robert était toujours allongé au sol.
– C’est quand même pas un p’tit coup de canne qu’il l’a mit kaputt, le cravaté !?
La vieille s’approcha de Plantu. Ce dernier avait les yeux révulsés et ne bougeait plus. Une boule au ventre saisit Germaine ; elle se baissa pour poser son index et son majeur contre le cou de Robert. Aucun battement.
– Roooô merde ! grogna la Mère Pichard. Il est mort ce con !
Elle s’assit sur la chaise qu’occupait le cadavre et réfléchit. Il devait bien avoir quelques personnes qui étaient au courant que le commercial se rendait ici. Il lui fallait cacher le corps !
Pour se donner du courage, elle vida la fin de la bouteille sur la table et sortit précipitamment de sa maison. Dehors, le soleil déclinait de plus en plus, il ferait nuit dans moins d’une heure et demie.
Germaine marcha, à moitié ivre, jusqu’au jardin à deux pas de la baraque. Elle scruta de ses vieux yeux les alentours et découvrit enfin la pelle qu’elle cherchait, jonchant un petit taillis touffu. Elle saisit maladroitement l’outil, le planta au sol et elle s’appuya dessus, en pleine réflexion.
Où allait-elle creuser ? Sous le jardin, il y avait déjà une dizaine d’Allemands qui nourrissaient les légumes depuis des décennies, le derrière de la maison était occupé par trois hippies qui s’étaient pris d’affection pour les lieux et qui n’avaient pas voulu déguerpir. Près de l’arbre, c’était impossible car le garde-chasse reposait depuis cinq ans suite à un conflit de braconnage. L’inspecteur des impôts, quant à lui, n’était pas loin de la corniche de la falaise.
Tout en se demandant quel était le meilleur endroit pour planquer le corps, Germaine se grattait le menton qu’elle avait malheureusement velu. Soudain, un bruit lui parvint aux oreilles, un bruit qui venait de la cuisine. Elle tourna la tête et fixa l’abord de la maison. Une ombre approchait du seuil, et Germaine reconnut la silhouette de Robert Plantu.
– Crénom, se réjouit-elle à l’idée de ne pas s’épuiser à creuser en cette fin de journée, j’ai bien cru que vous étiez totalement décédé !
Le commercial passa la porte en clopinant. Sa démarche était maladroite, et il tenait ses bras bien en avant. Germaine fut saisie de terreur en voyant l’expression effroyable de son visage. En effet, ses yeux exprimaient à présent une débilité affirmée, la même que ceux des participants d’une quelconque émission de télé-réalité. Un son rauque et inexpressible sortait de sa gorge, sans phrase ni mot.
– Ça va gamin ? demanda la vieille qui commençait à se transir de peur. Chuis désolée pour le coup sur la gueule, mais…
Robert n’écouta même pas les excuses de la propriétaire des lieux. Il n’était plus qu’à trois pas de cette dernière lorsqu’il se jeta sur elle. Germaine fit un pas sur le côté en esquivant l’attaque. Plantu trébucha et s’affala sur un petit piquet pointu de tomate planté dans le jardin. Le bout de bois lui traversa le ventre et ressortit de l’autre côté en une gerbe de sang.
En quatre-vingt-deux ans, Germaine en avait vu des trucs dégueulasses, mais là, ça dépassait tout ce qu’elle pouvait imaginer ! Elle qui comptait passer une soirée tranquille, voilà-t-y pas qu’un couillon s’embrochait dans son jardin !
Robert se débattait sur le piquet en agitant les bras au hasard. Il poussait des cris rauques qui glaçaient le sang de Germaine. Elle attrapa l’empalé par les hanches et tira de toutes ses forces pour l’extraire de cette situation fort indélicate. Mais le blessé, loin de se laisser aider, essaya de mordre à plusieurs reprises sa sauveuse.
– Mais arrête ! hurla la vieille. Tu vois pas que j’veux te sortir de ce merdier !?
Un claquement de mâchoire frôla la main de Germaine qui recula. Quelque chose n’allait pas ! C’était comme si Plantu avait perdu toute humanité en lui : il ne prononçait aucun mot intelligible et cherchait à planter ses dents dans la chair de la mère Pichard.
La vieille s’éloigna du piquet et regarda le mourant agoniser. Au bout de cinq minutes, elle fut obligée de conclure à un constat inhabituel : Robert Plantu, Représentant d’une entreprise de vautour, ne pouvait mourir…
Enorme la mamie tromblon.
Pour l'inspiration j'hésite entre ceci:
Et ceci:
Du grand nawak, mais ça détend bien le neurone! Tu as pensé à être remboursable par la sécu?
Ouais j'avoue que le livre est vraiment comme nul autre, pour le coup un humour décpaant, sur les zombis, avec pour toile de fond une vraie hisotire et de smanigances franchement je te l'ai deja dis mais respect ! Il n'y a plus qu'à ce que le livre prenne, niveau promo nous on a fait notre max de toute façon mais tu devrais t'affairer à trouver d'autres moyens de publicités Arty :yeah:Ouais j'avoue que le livre est vraiment comme nul autre, pour le coup un humour décpaant, sur les zombis, avec pour toile de fond une vraie hisotire et de smanigances franchement je te l'ai deja dis mais respect ! Il n'y a plus qu'à ce que le livre prenne, niveau promo nous on a fait notre max de toute façon mais tu devrais t'affairer à trouver d'autres moyens de publicités Arty
Merci les gars.
Firebrand: les Vamps ou Soeur Marie Therese ? Tu n'y es pas du tout, mon inspiration vient d'une autre femme: Maria Bodin, si tu connais.
Draco...je vais être obligé de te rouler une pelle, non ?
Coquin va
Salut les gars, on a mis vos noms dans un chapeau et les 10 participants qui ont remporté un exemplaire de c elivre de zombis totalement barrés sont :
Genesis
delonge1821
hiper-tofu
Navilink
Firebrand
Gorepheus
ddepretz
hannibal83
Timshu
Wart
CJ, Yoodoo, Ziell et d'autres ont perdus, il n'y avait que 10 livres à gagner mais vous pouvez en demander une version payante dédicacé par notre cher Artemus Fans de zombis, bonne lecture
EDIT : Envoyez-moi les concernés vos adresses postales complète afin de recevoir le livre par MESSAGE PRIVE Merci
Bon je suis super content d'avoir gagné un exemplaire du livre, merci à ND et à Artemus mais enfin WHAT THE FUCK?, les livres seront pas dédicacés? Draco m'a enjoint à te lyncher mon cher Artemus, alors bon, je n'irais pas jusque là, mais enfin mince quoi, toute la beauté du truc c'était de dédicacer les bouquins! Cruelle déception donc, que la joie d'avoir gagné le concours na parvient pas complètement à combler... ( )
Nos livres pas dédicacé ??? SCANDALEUX monsieur Artemus ! Tu veux bien rouller des pelles mais pas faire des dédicaces, ilf faut revoir les priorités !
Moi m'en fous des spoilers, j'ai lu les extraits... et j'aime déjà! ^^ Et pour la dédicace bah si tu passes par Troyes un de ces quatre (HAHAHAHAHAHA, mais pourquoi passer par Troyes sérieux?) fais-moi signe!
Merci encore en tout cas!
Pour excuser l'oubli d'Artemus de ne pas m'avoir envoyé de livres dédicacés, bon c'est son éditeur mais ca a été mal géré, je vous mettrais un petit cadeau de ma collection personnelle, celle du grand Draco (gné) dans vos colis ! Un petit goodies, je sais pas quoi encore je dois regarder parmi ma vaste collection !
Je ne refuse jamais un cadeau, c'est un de mes principes. M'enfin quand même, c'est super sympa Draco!
Quel joli principe allons donc
Donc t'as perdu.
Pour ceuw qui voudraient en gagner un petit dernier, je me permets:
http://gamusik.netsan.fr/post/2012/12/18/Calendrier-de-l-Avent-Mardi-18-decembre-2012-avec-un-Concours.aspx
Sinon pour les dédicaces, il est aussi possible qu'Artemus les fasse sur feuille libre, sur une photo ou même sur des étiquettes auto-collantes ; qu'il les envoie à Draco ; et que Draco les mettent dans les exemplaires offerts avant envoi aux heureux gagnants.
Venant d'un maître en la matière, c'est un compliment.
Hahaha la bonne idée que voila !
J'attend impatiemment le livre en tout cas ^^
Les livres sont préparés et j'ai mis avec chaque livres des ptits goodies en plus comme je l'avais annoncé Ils partent demain par la poste ca signifie que vous devriez les avoir au mieux samedi au pire entre lundi et mardi ! La seule personne qui ne recevra rien pour le moment c'est ddpretz qui n'a toujours pas fourni d'adresse et de nom de livraison, j'attends toujours
Je veux bien prendre sa place moi
Trop tard le retardataire s'est manifesté Tu peux acheter le livre ceci dit, directement auprès d'artemus
Va s'y, il est pas cheeeer mon livre.
Merci Draco. Bon, je vous laisse, j'ai une putain de gastro...
C'est les prmeiers signes d'une transformation en zombi ça fait gaffe Tous les livres avec des ptits goodies dedans sont partis jeudi midi ! Vous devriez recevoir les colis entre Samedi et Mardi, les colis sont assez volumineux donc il est possible que cela ne rentre pas dans les boites aux lettres. Le facteur peut ne pas laisser d'avis de passage, si vous n'avez rien reçu Mercredi pensez à aller à votre POSTE pour demander si un colis à votre nom n'est pas disponible !
Un zombi qui a une gastro....mmmmh.... ça a du potentiel ça. Par contre avec l'odeur, l'effet du surprise rsque en prendre un coup!
Vu les récents déboires avec la Poste pour le concours Ubisoft, on va être vigilent. Merci Draco.
Double post, mais pour dire que j'ai bien reçu mon exemplaire (hier en fait). Merci Artemus et ND!
De rien Et n'hésitez pas à donner vos critiques du livres, j'attends la critique des 10 personnes qui ont reçu leurs exemplaires, bonne ou mauvaise on veut savoir, si j'ai pas vos critiques dans le courant du mois de janvier je vous supprime de tout concours de ND voilà
Et on vous défonce !
Même pas peur.
Bon, sinon j'ai fini le bouquin il y a peu. Ca se lit finalement assez vite.
Sinon, pour ce que j'en ai pensé.... c'est une friandise pour geek, ça se lit comme on regarderait Zombiland sur son DVD dans son canapé avec des chips et une mousse.
C'est blindé de références aux jeux vidéo sans s'en cacher (Mario, Luigi et Ezio par exemple, Resident Evil évidemment, MGS, etc...) avec des personnages complètement barrés et un humour aussi fin qu'une choucroute au cassoulet accompagnée de son cocktail bière-coca (je vous laisse goûter d'abord... ). Le sérieux n'est vraiment pas de mise et c'est parfois compliqué d'étouffer un rire gras dans les transports en commun lorsqu'on lit.
C'est sympa à lire, c'est sûr, mais tout n'est pas parfait.
On passe rapidement d'un groupe de personnage à l'autre, les actions se passant simultanément. Mais parfois vraiment trop vite, ça devient chaotique (c'est fait pour?) et un peu décousu à lire. J'aurais préféré parfois des passages plus longs sur un groupe avant de passer à un autre.
Ensuite, le délire c'est bien, tu le fais bien passer. Mais trop de WTF tue le WTF: le coup des Chevaliers du Zodiaque, c'est un peu trop perché et c'est franchement la limite à ne pas dépasser pour que le n'importe quoi bon enfant ne devienne trop lourd; limite je me demande si ça a quelque chose à faire dans ce livre.
Bref, même si certains passages m'ont moins convaincus, j'ai passé un bon moment à lire ce livre et j'attends la suite de l'histoire.
Ha oui, c'est perché, Firebrand. Pour les passages d'un groupe à l'autre, oui c'est volontaire et c'est surtout pour garder un esprit "je lis un paragraphe dans le train, un sur les chiottes".
Pour les chevaliers du Zodiaques... attends de lire la suite, ça te semblera peut être moins WTF.
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