 Les jeux vidéo dont on ne se souvient plus, mémoire en panne |
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 Mardi 15 Mai 2012, 20:39
Message
#1
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 And knowing is half the battle!  Groupe : Membres Messages : 2 213 Inscrit : Samedi 15 Mars 2003 Lieu : Cherchez du côté de l'Atlantique... Membre no 40  |
De la même façon que pour un film qu'on a vu étant petit ou un livre qu'on a feuilleté dans une salle d'attente, on a tous à un moment joué ou essayé vite fait un jeu vidéo il y a fort longtemps avant de passer à autre chose.
Puis, aléatoirement, dans les moments les plus inopportuns, on a des bribes de souvenirs qui font surfaces et notre curiosité pour ce jeu qu'on a pris en main par le passé nous pique à vif et parfois nous tourmente. Car on a beau parfois se rappeler du gameplay, de l'apparence des persos, des graphismes ou des musiques...on ne peut juste pas se rappeler du titre ! Par exemple : je me rappelle d'un jeu sorti assez tôt dans l'existence de la DS où dans un jeu d'adresse façon mini-golf en 2D scrolling horizontal, une petite sorcière devait éjecter un boule de poil (un genre d'animal tout rond qui ressemble à un lapin sans nez et avec les yeux bridé) à travers un parcours pour arriver à un point donné. On pouvait tournoyer contrôler la rotation de la bestiole en plein air, ainsi et la direction vers laquelle l’éjecter avec le stylet. Les graphismes étaient très mignon, typiquement dans la veine kawaii et rappelait même un peu Kirby. C'était dans mes souvenirs une exclu import japonais bon marché et je ne souviens pas si il a été publié en France ou un Europe. Si ça vous rappelle quelquechose, je vous remercie d'avance pour votre réponse. En tout cas, si vous aussi, vous avez un trou de mémoire et que l'existence d'un jeu vous tourmente à cause de l'oubli de son titre, n'hésitez pas à partager vos souffrance et décrire le jeu en question avec un maximum de détail. Il y a toujours une chance que quelqu'un connait le titre de ce jeu qui vous trotte en tête. 
--------------------  A des journalistes matérialistes qui cherchaient à mesurer ce que le jeu vidéo pouvait apporter, sur un plan personnel, aux adultes, je n’ai trouvé, dans le désarroi, que cette citation du dernier Godard, Éloge de l’amour : « L’enfance et la vieillesse sont les deux seules vraies étapes de la vie ; l’âge adulte, ça n’existe pas ». Avec le jeu vidéo, il paraît au fond possible à l’adulte que je m’étonne encore être devenu, de tendre vers la sagesse désirée du vieil et grand écrivain oisif sans lâcher la main de l’enfant contemplatif qui m’a tout appris. La position est plus poétique que politique mais elle est tenable. Au passage, toutes les récriminations en provenance du monde « adulte » s’en trouvent relativisées. L’enfant voit dans le jeu de la magie, le vieux sage devrait y voir de l’art, l’adulte se rassure ou s’effraie en y voyant de la virtualité. Il n’a vraiment rien compris. -Olivier Seguret dans feu magazine "Gaming" |
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Mardi 15 Mai 2012, 22:53
Message
#2
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 How about no ?  Groupe : Staff ND Messages : 4 528 Inscrit : Dimanche 17 Avril 2005 Lieu : Dream Zanarkand Membre no 1 571 |
Citation (Toxicloac @ mardi 15 mai 2012, 20:39)  Une petite sorcière devait éjecter un boule de poil (un genre d'animal tout rond qui ressemble à un lapin sans nez et avec les yeux bridé) Ça s'appelle une couille il me semble. -------------------- Une signature c'est so 2004.
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Mardi 15 Mai 2012, 23:26
Message
#3
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And knowing is half the battle! Groupe : Membres Messages : 2 213 Inscrit : Samedi 15 Mars 2003 Lieu : Cherchez du côté de l'Atlantique... Membre no 40 |
Non, c'est juste
Ce message a été modifié par Toxicloac - Mardi 15 Mai 2012, 23:35. -------------------- A des journalistes matérialistes qui cherchaient à mesurer ce que le jeu vidéo pouvait apporter, sur un plan personnel, aux adultes, je n’ai trouvé, dans le désarroi, que cette citation du dernier Godard, Éloge de l’amour : « L’enfance et la vieillesse sont les deux seules vraies étapes de la vie ; l’âge adulte, ça n’existe pas ». Avec le jeu vidéo, il paraît au fond possible à l’adulte que je m’étonne encore être devenu, de tendre vers la sagesse désirée du vieil et grand écrivain oisif sans lâcher la main de l’enfant contemplatif qui m’a tout appris. La position est plus poétique que politique mais elle est tenable. Au passage, toutes les récriminations en provenance du monde « adulte » s’en trouvent relativisées. L’enfant voit dans le jeu de la magie, le vieux sage devrait y voir de l’art, l’adulte se rassure ou s’effraie en y voyant de la virtualité. Il n’a vraiment rien compris. -Olivier Seguret dans feu magazine "Gaming" |
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